Chronologie de la paroisse Saint-Benoît-de-Nursie
L’actuelle Paroisse Saint-Benoît-de-Nursie a ses origines dans quatre paroisses orthodoxes :
La Fraternité Orthodoxe de Saint-Jean-le-Précurseur (1981 – 1983) et les antécédents des Paroisses Saint-Grégoire-le-Grand et Saint-Benoît-de-Nursie
Fondation de la paroisse anglophone du Signe de la Theotokos (Église orthodoxe en Amérique).
Deux paroissiens du Signe de la Theotokos, Steven Bigham et Yves Drolet, fondent la Fraternité Orthodoxe de Saint-Jean-le-Précurseur, dans le but de faire connaître l’Orthodoxie au Canada français.
La Fraternité organise la première activité orthodoxe de langue française: vêpres suivies d’une conférence du Père Jean Meyendorff, à la cathédrale russe SS. Pierre et Paul (chorale du Signe de la Theotokos).
Steven Bigham part pour une année d’études au Séminaire Saint-Vladimir, en vue d’être ordonné prêtre.
Deuxième conférence de la Fraternité, donnée par Mgr Pierre (L’Huillier), évêque de New York, à l’occasion de la fête patronale de la paroisse du Signe.
La Fraternité organise deux autres conférences (Père Chisca, recteur de la paroisse roumaine Saint-Jean-Baptiste de Montréal, et Père Alexandre Schmemann), puis une retraite au couvent des Sœurs recluses missionnaires à Rivière-des-Prairies. Outre les Bigham et les Drolet, le petit groupe francophone du Signe compte deux familles françaises (Rigny et Gourvil), qui rentreront en France l’année suivante.
Ordination à la prêtrise de Steven Bigham par le Métropolite Théodose, à la paroisse du Signe.
Parallèlement, le hiéromoine Irénée (Rochon) revient à Montréal après avoir passé quelques années à Genève et à Lyon comme recteur des paroisses francophones de l’Église russe hors frontières. Converti à l’orthodoxie dès 1967, le Père Irénée a reçu sa formation monastique à Jordanville (New York). Il organise des liturgies dominicales hebdomadaires en français à la chapelle de la résidence de l’archevêque Vitaly (Oustinov) de l’Église russe hors-frontières, avec un petit groupe de Québécois qui se convertissent.
Le groupe qui se réunit autour du Père Irénée se constitue en paroisse sous le vocable de Saint-Grégoire-le-Grand, au sein de l’Église russe hors frontières.
Saint-Benoît-de-Nursie de 1983 à 1991
La première paroisse francophone de l’ÉOA est fondée à Montréal sous la direction du Père Stéphane Bigham. La paroisse Saint-Benoît-de-Nursie s’installe pendant deux mois dans une église antiochienne, puis retourne à la paroisse anglophone du Signe de la Theotokos.
La paroisse Saint-Benoît quitte la chapelle de la paroisse du Signe de la Theotokos et s’installe au Quartier Saint-Michel (boul. Pie IX). La paroisse se consacre à la diffusion d’écrits orthodoxes en français.
Le hiéromoine Irénée (Rochon) et le hiérodiacre Marc Pierre se joignent au diocèse canadien de l’ÉOA, avec une partie des laïcs de la mission francophone Saint-Grégoire-le-Grand de Montréal.
Le métropolite Théodose consacre le Hiéromoine Séraphim Storheim évêque d’Edmonton et auxiliaire pour le Canada.
La paroisse quitte son local exigu situé au sous-sol d’un immeuble résidentiel du quartier Saint-Michel pour s’installer dans des locaux plus spacieux loués à la paroisse catholique romaine Saint-Patrick au centre-ville de Montréal.
Mgr Séraphim (Storheim), archevêque d’Ottawa et du Canada, diocèse canadien de l’ÉOA, fonde la Fraternité Missionnaire Saint-Séraphim-de-Sarov, regroupant les moines au Québec qui font partie de l’ÉOA.
Saint-Grégoire-le-Grand de 1983 à 1987
La paroisse Saint-Grégoire-le-Grand s’installe dans une maison louée par le Père Irénée rue Saint-Denis, puis en juillet 1984 emménage dans un local commercial loué rue Sauvé. Des Russes et des Roumains de la cathédrale russe Saint-Nicolas se joignent aux convertis et la paroisse atteint une trentaine de membres. Un paroissien, Claude Pierre, est ordonné diacre (Père Marc). Malgré l’absence de communion entre les deux juridictions russes, la paroisse maintient des liens officieux avec la paroisse du Signe.
Inquiets de l’orientation prise par l’Église russe hors frontières depuis que l’archevêque Vitaly a été élu primat, le Père Irénée et le Père Marc décident de se joindre à l’Église orthodoxe en Amérique. La majorité des convertis les suivent, tandis que les Russes et les Roumains demeurent membres de l’Église russe hors frontières et conservent la charte légale de Saint-Grégoire-le-Grand.
Saint-Constantin-et-Sainte-Hélène de 1988 à 1993
Inauguration de la Chapelle de la Mission Saint-Constantin-et-Sainte-Hélène, située rue Sherbrooke ouest, sous la juridiction de l’ancien Exarchat du Patriarcat d’Alexandrie (juridiction non-canonique), par le Père Nicolas Giroux.
La Mission se déplace à sa deuxième chapelle, située boul. de Maisonneuve.
Ordination à la prêtrise du hiéromoine Cyrille (Bradette) par Mgr Constantin de l’Exarchat du Patriarcat d’Alexandrie (juridiction non-canonique).
Inauguration de la chapelle située au 2014, rue Saint-Urbain, derrière la Place des Arts, au coin du boul. de Maisonneuve, au sous-sol de l’Église anglicane Saint-Jean-l’Évangéliste.
La Mission Saint-Constantin-et-Sainte-Hélène cesse d’exister suite à l’adhésion du Père Cyrille et des paroissiens à l’Église orthodoxe en Amérique.
Saint-Benoît-de-Nursie depuis 1991
Suite à des difficultés internes et à la diminution du nombre de fidèles et des revenus, le Père Stéphane interrompt les activités de la paroisse.
Mgr Séraphim confie la paroisse à la Fraternité Missionnaire de Saint-Séraphim-de-Sarov (Père Irénée et Père Marc) et le Père Marc, ordonné prêtre le 14 avril 1991, en devient le recteur. La paroisse s’installe temporairement dans le sous-sol d’une maison privée.
La paroisse loue un petit local à l’Église anglicane Saint-Ignace à Montréal-Nord.
Le hiéromoine Cyrille (Bradette) se joint à l’Église orthodoxe en Amérique et à la Fraternité missionnaire de Saint-Séraphim-de-Sarov. La paroisse s’installe dans la chapelle qu’il a aménagée au sous-sol de l’Église anglicane Saint-Jean-l’Évangéliste. Par la suite Mgr Séraphim ordonne le Père Cyrille au diaconat et à la prêtrise.
Le Père Irénée succède au Père Marc à titre de recteur de la paroisse Saint-Benoît.
Mgr Séraphim ordonne Gregory Nimijean diacre à Saint-Benoît et l’affecte à la paroisse.
Mgr Séraphim transforme la Fraternité Missionnaire de Saint-Séraphim-de-Sarov en Communauté Missionnaire de Saint-Séraphim-de-Sarov (qui devient par la suite la Communauté monastique de Saint-Séraphim-de-Sarov) et la rattache à la Chapelle de la Transfiguration à Rawdon, Québec. Le Père Irénée demeure higoumène de la Communauté Missionnaire et recteur de la Paroisse Saint-Benoît.
Lors de la Divine Liturgie hiérarchique, le Diacre Gregory Nimijean est ordonné prêtre au temple de Saint-Benoît.
En ce jour de la fête de l’Exaltation de la précieuse et vivifiante Croix, plus de 40 paroissiens et amis de la paroisse Saint-Benoît-de-Nursie de Montréal ont effectué un pèlerinage d’un jour au monastère grec de la Panagia Parigoritissa (Vierge Consolatrice) à Brownsburg (Québec), près de Lachute, à environ une heure de route au nord de Montréal, pour rendre grâce dans l’allégresse pour le ministère de son recteur, l’higoumène Irénée (Rochon), qui a célébré le 25e anniversaire de son ordination à la prêtrise le jour de la Transfiguration (ancien calendrier), le 19 août. La plupart sont arrivés à l’Orthros chanté par la communauté monastique et célébré par le chapelain, le père Daniel Giubega. Tandis que la superbe chapelle ornée de fresques se remplissait de pèlerins et d’invités, notre clergé a été gentiment invité à concélébrer la Divine Liturgie. L’higoumène Irénée, le hiéromoine Marc (Pierre) le hiérodiacre Amvrosi (Mlodzik) et le diacre Juan Pablo Ruiz-Gomar ont donc rejoint le père Daniel (Baeyens) autour de l’autel richement paré. À la demande de la mère higoumène, la Divine Liturgie a été célébrée en plusieurs langues, le français arrivant en second juste après le grec. Un moment mémorable fut, à la fin de la Divine Liturgie, l’Élévation de la Croix, sur sa couronne de basilic odorant, des pots de ce même basilic parfumant toute la chapelle. La Divine Liturgie fut suivie du dîner — pour certains dans le réfectoire des moniales, accompagné de lectures appropriées à la fête solennelle du jour, et pour les autres à l’extérieur, autour de tables à pique-nique. Vers la fin de l’après-midi, les paroissiens se sont réunis autour du père Irénée pour lui lire des hommages et lui offrir des présents et d’autres témoignages de leur soutien et de leur affection indéfectibles.
(Compte-rendu adapté de ‘Recent celebrations in two Montréal parishes: St-Benoît-de-Nursie’ in « Canadian Orthodox Messenger », printemps 2004, pp. 11-12.)
Le hiérodiacre Théodose (Bourjeily) a été reçu de l’évêque Alexandre (Mufarrij), et il est attaché comme hiérodiacre à la communauté monastique de Saint Séraphim de Sarov, sa principale responsabilité étant à Saint-Benoît.
Lors de la Divine Liturgie Hiérarchique, le Hiérodiacre Théodose (Bourjeily) est ordonné à la prêtrise et rattaché comme hiéromoine à la paroisse de Saint-Benoît.
L’archimandrite Irénée (Rochon) a été ordonnée au saint épiscopat à Ottawa, en Ontario.
Mgr Irénée (Rochon) a été nommé vicaire-évêque de l’archidiocèse du Canada et évêque de Québec. Il a continué à superviser la paroisse de Saint-Benoît.
À la cathédrale de l’Annonciation/Saint-Nicolas d’Ottawa, Mgr Séraphim, archevêque du Canada, préside à l’Intronisation de Son Excellence Mgr Irénée (Rochon) comme évêque auxiliaire (officiellement évêque de Québec), mais demeure recteur de St-Benoît à Montréal, même si d’autres prêtres le remplacent durant les nombreux voyages à travers le Canada et le monde qu’exige sa nouvelle charge épiscopale.
Le prêtre Gregory Nimijean est nommé recteur de la paroisse de Saint-Benoît.
Dragos Giulia est tonsuré pour être lecteur et ordonné comme sous-diacre à la paroisse de Saint-Benoît.
Lors de la Divine Liturgie hiérarchique, Philippe Leroux est ordonné lecteur.
Lors de la Divine Liturgie hiérarchique, le sous-diacre Dragos Giulia est ordonné au saint diaconat. et nommé second diacre à la paroisse de Saint-Benoît.
Lors de la Divine Liturgie Hiérarchique, le Diacre Dragos Giulia est ordonné à la sainte prêtrise et attaché comme prêtre à la paroisse de Saint-Benoît.
Le métropolite Tikhon (Mollard), primat de l’Église orthodoxe en Amérique, fait une visite pastorale à Montréal. Il s’agit du premier voyage de Vladyka à l’extérieur des États-Unis depuis son élection en tant que Métropolite de toute l’Amérique et du Canada en novembre, 2012. Cette visite a 2 raisons officielles: les 30 ans de l’établissement de la paroisse Saint-Benoît-de-Nursie, première paroisse orthodoxe francophone d’Amérique du Nord, et le 35e anniversaire de l’ordination au sacerdoce de l’évêque Irénée (Rochon) de Québec, alors administrateur de l’Archidiocèse du Canada. Bien qu’il soit de naissance à moitié français (son anniversaire tombant le lendemain est d’ailleurs dignement souligné) et qu’il ait passé la majeure partie de sa jeunesse en France, c’est la première fois que Vladyka Tikhon a l’occasion de servir la Divine Liturgie en français du début jusqu’à la fin, quand il remet les médailles et « gramotas » (certificat de reconnaissance) de Saint Tikhon à quatre des membres les plus anciens de la paroisse. Il a remercié également Catherine Mitchell pour ses nombreuses années d’un travail généreux au profit de la paroisse. Après la Divine Liturgie, tous ceux qui étaient présents ont été invités à un modeste repas amical organisé par les paroissiens.
Les diaporamas des premières années de Saint-Benoît, réalisés par son fondateur le Père Stéphane Bigham à partir des albums de photos de son époque (1983-1991) sous le titre d’Histoire d’un projet, sont désormais disponibles maintenant qu’il les a lui-même numérisés; il faut pour cela les lui demander à son adresse courriel [email protected].
Le Père Gregory (Nimijean) ayant reçu la charge de la paroisse du Signe de la Theotokos, c’est au Père Dragos (Giulea) que revient celle de la paroisse Saint-Benoît-de-Nursie, dont il deviendra officiellement recteur en 2016.
Mgr Irénée (Rochon) est élu et nommé évêque d’Ottawa et du Canada.
À la cathédrale de l’Annonciation/Saint-Nicolas d’Ottawa, Sa Béatitude le Métropolite Tikhon de Washington et de Toute l’Amérique a présidé à l’Intronisation de Son Excellence Mgr Irénée (Rochon) en tant qu’Évêque d’Ottawa et de l’Archidiocèse du Canada de l’Église orthodoxe en Amérique.
Le Saint Synode des évêques élève l’évêque Irénée (Rochon) à la dignité d’archevêque.
Lors de la Divine Liturgie Hiérarchique au Sobor des Saints Pierre et Paul à Montréal, le diacre Justin Mitchell est ordonné à la sainte prêtrise et rattaché comme prêtre à la paroisse de Saint-Benoît.
L’archevêque Irénée (Rochon) célèbre la fête de la Nativité de saint Jean-Baptiste à l’église Saint-Benoît-de-Nursie avec l’assistance de Son Éminence l’archêveque Job (Getcha) de Telemessos. L’archevêque Job est le représentant du Patriarcat œcuménique au Conseil mondial des églises à Genève en Suisse. Il est également professeur à l’Institut des études supérieures du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique à Chambésy-Genève. Le Père Anatolij Melnyk, le Père Gregory Nimijean, le Père Dragos Giulea, le Père Justin Mitchell, le Père Ihor Kutash, le Diacre Nicolas Svetlovsky et le Père Dimitri Choueiry ont tous concélébré la Divine Liturgie avec les 2 archêveques.
L’Archevêque Irénée (Rochon) ordonne le diacre Nicolas Svetlovsky à la sainte prêtrise à l’église Saint-Benoît-de-Nursie pour servir les besoins du doyenné.
Jules et Martin Sirois sont ordonnés lecteurs attachés à l’église Saint-Benoît-de-Nursie.
Dès avant la pandémie, la paroisse se met en recherche d’un nouveau local, car l’église anglicane Saint-Jean-l’Évangéliste qui l’accueille depuis 27 ans est en passe de vendre cette partie du bâtiment. Les vêpres du 14 mars, jour de la fête patronale de Saint-Benoît, seront le dernier office célébré dans cette crypte, la liturgie épiscopale prévue le lendemain pour la célébrer étant elle-même annulée à la dernière minute. Plusieurs activités de la paroisse sont transposées sur Zoom pendant le confinement, alors que la communauté missionnaire Saint-Hilaire-de-Poitiers de Québec accueille notre participation à distance à certains offices.
Le conseil de la paroisse est avisé par l’Archevêché que Père Dragos (Giulia) sera transféré dans une autre paroisse dont le recteur est appelé à aller servir aux États-Unis. Le Père Dragos choisira plutôt de se joindre à une paroisse localisée à Windsor, Ontario du Diocèse orthodoxe roumain du Canada relevant du Patriarcat roumain. . Il quitte ses fonctions de recteur de St-Benoît vers la fin du mois de juillet 2020. Mgr Irénée redevient notre recteur en attendant de lui trouver un remplaçant.
Durant la pandémie, quand l’assistance aux offices est autorisée sous certaines conditions sanitaires, plusieurs paroissiens se mettent à fréquenter plutôt la nouvelle communauté missionnaire Saint-Dimitri qu’a lancée à Laval le Père Dimitri (Choueiry); celui-ci avait célébré à Saint-Benoît par le passé. Mis à part ce dernier et sa famille, les membres et amis de ce qui se voulait une nouvelle paroisse francophone finiront par rejoindre la nôtre à l’issue d’une période d’incertitude en l’absence de local et de recteur.
Ordination à la prêtrise du Père Élie Fonseca à l’Église du Signe de la Theotokos, Montréal.
Le Père Stéphane (Bigham) a accepté la demande de Mgr Irénée de venir célébrer pour nous la liturgie dans la chapelle de la Présentation de la Mère de Dieu à Verdun, au 650, 4ème Avenue. C’est là qu’auront lieu nos offices, célébrés tour à tour par les Pères Stéphane, Dimitri et Élie ou Mgr Irénée, durant les périodes autorisées du reste de la pandémie.
Déménagement final des biens de la paroisse de l’ancien local loué à l’église anglicane Saint-Jean-l’Évangéliste (qui elle-même fermera ses portes au printemps 2022); ceux-ci sont mis en entrepôt en attendant de trouver un nouveau local.
La Mission Saint-Dimitri est suspendue par Mgr Irénée, qui encourage ses membres à intégrer Saint-Benoît.
Le Père Élie (Fonseca) est désigné recteur de Saint-Benoît.
Inauguration de notre nouveau local dans la chapelle mariale de l’église catholique Saint-Laurent (la deuxième plus ancienne paroisse de l’île de Montréal, qui célèbre son tricentenaire), sise au 807, avenue Ste-Croix, Saint-Laurent.
Réouverture officielle de la bibliothèque paroissiale au jubé de la chapelle, sous le nouveau nom de Bibliothèque orthodoxe Saint-Irénée-de-Lyon, en l’honneur de ce Père grec de l’Église indivise (déclaré « Docteur de l’unité » par le pape François en 2022) qui fut le second primat des Gaules, et dont le rayonnement d’apologiste de la vraie foi en terre française est propre à inspirer en tant que principale paroisse orthodoxe francophone du Nouveau Monde.
Mgr Irénée ordonne au diaconat le serviteur de Dieu Horia Roscanu, issu d’une église uniate et reçu dans l’Église orthodoxe plus tôt dans l’année. Celle-ci a vu une affluence notable de nouveaux membres et amis, notamment de catéchumènes devenus paroissiens par chrismation ou parmi nombre de baptêmes d’adultes ou de nouveau-nés, sans parler des premiers mariages et funérailles célébrés dans une nouvelle chapelle où St-Benoît connaît un nouveau souffle.
Célébration du 40e anniversaire de la paroisse par la Divine liturgie pontificale avec Mgr Irénée, suivie d’un repas festif au sous-sol de l’église catholique St-Hippolyte à St-Laurent, où son fondateur le Père Stéphane et d’autres témoins de son histoire prennent la parole.